Vous avez remarqué ces #cheveux que vous récoltez après les avoir délicatement semés en dormant, en vous #coiffant ou sous la douche ? Le constat est sans appel. Vous êtes en train de perdre vos cheveux. Avant de rejoindre le très friendly club des #hommes dégarnis, des gestes simples peuvent vous aider à prendre la situation à la #racine. Même si la perte de la crinière peut affecter certains mâles, la #calvitie peut même rimer avec #virilité et faire grimper le sex-appeal…
Histoire d’un poil particulier.
Connaitre le cycle de vie du cheveu est primordial pour comprendre l’influence de nos hormones mâles sur notre tonsure. Nos cheveux se renouvellent de manière cyclique, alors grosso modo, si l’on arrondit : un cheveu pousse en 3 ans, se stabilise en 3 semaines puis tombe ensuite en 3 mois.
Vers la calvitie…
Alors qu’il est normal de perdre jusqu’à une centaine de cheveux par jour, quand on dépasse ce cap alors on glisse vers la calvitie. Bien que moult facteurs peuvent mettre à mal notre brushing (stress, traumatismes, médicaments, etc.), dans la grande majorité des cas notre perte de cheveux est normale et n’est pas signe de maladie. Elle est directement corrélée à notre production de substances virilisantes (hormones androgènes) dont la #testostérone est la tête de liste.
La faute à la testostérone ?
Notre perte capillaire est en étroit lien avec nos hormones mâles, dont la testostérone, d’où le terme d’ #alopécie androgénique. Elles entraînent peu à peu une asphyxie des follicules pileux. La phase de croissance du cheveu perd en efficacité et la mort du poil s’accélère. Or, plus les follicules se réduisent, plus les cheveux poussent finement et sont fragiles. Rajouté à cela un effet d’optique : les nouveaux cheveux étant plus fins et clairs, cela accentue le visuel global de perte de masse capillaire.
Les gestes à adopter.
Bien qu’on ne puisse pas reprogrammer notre code génétique pour limiter l’effet de nos hormones sur notre corps, des gestes simples peuvent aider à limiter la casse. Moins on est agressif avec son cuir chevelu et plus on sera récompensé. Exit donc l’eau trop chaude sous la douche, l’exposition solaire sans protection et les produits coiffants corrosifs ! Rajouté à cela, une alimentation variée et riche en fer, en zinc et en vitamines du groupe B vous mettra toutes les chance de votre côté pour préserver votre capital cheveu.
Quid des compléments alimentaires ou des médicaments ?
Si notre alimentation est borderline, une supplémentation en vitamines B ou en levures de bière peut s’avérer intéressante pour nourrir nos bulbes. Les #shampoings ou lotions aux vertus #antichutes vendues dans le commerce, ne seront que très peu efficaces. Quant aux médicaments, délivrés en pharmacie et dont certains sont sur ordonnance, s’ils peuvent s’avérer efficaces ils se sont pas à prendre à la légère en raison de leurs effets secondaires, comme la perte de libido par exemple… L’idéal reste de changer notre regard face à la perte de cheveux car l’on n’a aucunement besoin d’une crinière pour rugir et être sexy.
Et la greffe dans tout ça ?
Envisager une greffe de cheveux ne se fait pas à la légère. Avoir recours à l’implantation capillaire doit être le fruit d’une longue réflexion, car la greffe ne fait qu’accompagner la chute sans la stopper. Il faut discuter de la méthode à employer, en réfléchissant notamment à ses avantages et ses inconvénients, car le suivi diffère surtout si cela est fait à l’étranger avec des prix trop alléchants…
S’assumer : la sexy-attitude.
En réalité, quand on est confronté à la calvitie, faire le deuil de ses cheveux d’adolescent fera le plus grand bien à notre moral. Accepter et apprivoiser sa calvitie comme une marque masculine et non comme un couperet redonne une confiance folle, car l’on apprend que notre charme ne repose pas sur la densité capillaire. Changement de style ou nouveau look, qu’importe, c’est l’occasion de mettre en avant nos autres charmes qui aiguiseront notre pouvoir de séduction. Aucune place au complexe, d’autant que le fait d’être chauve ne nous rend absolument pas moins attirant, au contraire, certain.e.s en raffolent !
Par Dr Thomas K. – Tous droits réservés – Entreprise Thomas K. Edition ©
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